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([20160216] : Appel aux Philotechnosophes et aux économistes)
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Attention ! ce billet n'est pas ésotérique, car il ne s'adresse qu'à ceux à qui il ne le paraît pas !
 
Attention ! ce billet n'est pas ésotérique, car il ne s'adresse qu'à ceux à qui il ne le paraît pas !

Version du 16 février 2016 à 15:42

Dernières Contributions



[20160216] : Appel aux Philotechnosophes économistes

Attention ! ce billet n'est pas ésotérique, car il ne s'adresse qu'à ceux à qui il ne le paraît pas !

Pour les autres, il s'agit simplement d'un des nombreux jeux de préoccupations révélés par la "singularité technologique" (*) auxquels nous avons à nous habituer. Vous pouvez laisser tomber tant que ceux que cela intéresse n'en auront pas produit une analyse plus consensuellement complète.


Ce blog a été signalé à la fois et (1) sur la liste recherche de l'April et (2) sur celle du comptoir du http://cafedu.com. Il ne s'agit pas d'un cross positing car peu doivent être sur ces deux listes à la fois. Cela se veut simplement une incitation à certains membres du Comptoir à songer à rejoindre l'APRIL dont la liste "recherche" peut leur être inconnue. Elle est plus tournée vers les sujets nationaux concrets en terme de logiciels Libres. Tandisque la métaphore du comptoir est plus tournée vers la spéculation diktyologique (les choses en réseau) et l'esprit http://XLIB.RE, (càd "LIBRE même du Libre") en gestation dont elle a aidé la naissance, après des années de nombreuses incertitudes face à l'amerICANN et l'IETF, et à l'absence de doctrine technopolitique nationale. Merci de noter que l'IRTF (http://IRTF.org) se situe entre les deux, et que son (https://irtf.org/hrpc) groupe de recherche "Human Right Protocol Considerations" peut en intéresser plus d'un.


(*) NB: AMHA (propos de "Taulier" du Comptoir) ses suites ne condusent pas un "post-humain" mais à du "plus-humain". Nous devenons un peu plus complets par l'apport électonique (en particulier à nos capacités d'empathie et de mise en intelligence des choses entre elles [intellition : ce qui fait sens]), comme la singularité du vêtement nous a permis d'explorer les zones géographiques plus froides, et celle du navire d'y aller.

Egalement, je soutiens que cette singularité a eu lieu le 21 janvier 1889 quand Poincaré a montré (avec une erreur de calcul ensuite corrigée) que si le monde binaire (pensée de second ordre, dialectique, materiel/immateriel) de Newton s'accomodait de la logique platonicienne d'Aristote, pour répondre à la mythologie des daemons de Laplace et de Maxwell, ce n'était pas le cas du monde trinaire (pensée de troisième ordre, polylectique, materiel, intellectuel, spirituel) de la réalité et quadrinaire de la vérité qui demande le calcul [techne intégée au logos] infini de l'absolu.




Je serais intéressé de savoir s'il y a sur cette liste des juristes et/ou des philosophes et/ou économistes se sentant concernés par l'intégration de la techne au Droit et à la Philosophie (philotechnosophie : philosophie du techniquement possible), de l'intégration du Droit à l'évolution épistémotechnique et aux implications économiques de tout cela (au delà des implications sociologiques dont on se rebat mutuellement les oreilles).


J'aimerais en effet évoquer cinq sujets auxquels je suis concrètement confronté dans le cadre de ce que j'appelle un "procès de recherche" (la jurisprudenciation d'une proposition de "droit contributif" - c'est à dire l'[in] ou la validation d'une extrapolation de nécessité du droit par un justiciable pilote concerné) :

  • le droit de la contribution : Libristes, bénévoles, contributeurs intellectuels, vieux actifs.
  • la syndicalisation de la défense et de l'entraide économique et pratique des "contributeurs" (intérêt commun), par référence aux éduqués (gratuit), éducateurs (besoin commun), producteurs (interêt privé), serviteurs (besoin particulier) et chomeurs (privé de sociallité [co]laborative).
  • le patrimoine mnématique (ou mnème) : l'agencement, la protection (propriété, cohérence, contribution, nivellement par les big-data), le soutien, l'évaluation (et donc la métrique et la monétarisation), la transmission, etc. du système intelligement organisé des éléments mémoriels (matériels, intellectuels et spirituels) de la personne et des collectivités.
  • mon embryon de projet http://digiscix.fr : la rédaction de statuts optimaux pour société coopérative d'intérêt collectif d'une digitalité glocale (c'est à dire conforme au projet initial de l'internet : la localité des utilisateurs dans le contexte de la globalité du catenet - https://www.rfc-editor.org/ien/ien48.txt [Objectives]) que je voudrais munir d'une bibliothèque opérationnelle de logiciels, conventionnels (standards, bonnes pratiques, accord types) et référentiels Libres

- la cybernité (profondeurs digitales [digisphère], surface [espace] numérique, ciel des données ou ["référenciels"]) comme partie intégrante de l'environnement humain et par là soumise aux principes et obligations constitutionnelles de la charte de l'environnement (écologie de la contre-guerre éthitechnique (éthique dans les démarches d'ordre technique) : la prévention par précaution des conflits pouvant résulter d'une innovation et/ou d'une normalisation techniques non concertées dans l'ordre du matériel, de l'intellectuel et du spirituel). http://cybernité.fr.


[20160214] : Mémoire privée


Envoyé par la CNIL à Facebook à propos de la protection des données personnelles'

Bravo, Falque-Pierrotin !


L'homme complet

Tout ceci me parait converger vers une nouvelle vision architectonique à laquelle nous sommes confrontés. Plus nous avançons dans la technologie, plus nous sommes capables de réduire la durée du temps que nous pouvons mesurer et donc de connaître la chronologie locale qui va peu à peu faire disparaître le temps dans le temps de Planck. Cela semble très éloigné du droit, sauf que ce dont il s'agit est de la compréhension du présent. Et donc de la nature du temps, de la vérité, de la réalité, de la liberté, etc.

Si nous y pensons bien, le passé est ce qui ne peut plus être changé. Ceci le fait relever de la vérité si on la définit comme ce qui ne peut pas être changé (alors que la réalité sera ce que l'on en comprend à partir de l'expérience et de la réflexion). La flèche du temps est simplement la mesure de l'entassement néguentropique des faits par le faire des êtres, et entropique de leur usure par leur défaire mutuel. Le présent n'est que la surface du passé sous la concrétisation du possible.

Ce que nous apprenons est que l'homme a bien sept sens, les deux derniers nous étant l'empathie et l'intellition. L'empathie étant la perception par sa simulation cérébrale (la vision de l'intérieur des autres) et l'intellition étant la perception du caché par l'intelligence, l'intelligence de ce qui fait sens. Nous avons donc à légiférer sur l'éthique de ces sens pour une vie sociale ordonnée, et, dans la mesure où ces deux sens sont mieux perçus en raison de leur large utilisation des prothèses informatiques, nous avons aussi à en ordonnancer l'éthitechnique.


Quatre propositions pour améliorer le Droit

Légiférer veut dire réfléchir à partir du corpus législatif existant, ordonnancer veut dire tirer avantage de l'expérience pour étendre la loi par la jurisprudence. Pour y aider, j'aurais quatre suggestions à faire :

1. la compilation d'un code de la cybernité. Il s'agit d'aller sur https://www.legifrance.gouv.fr/ et de commencer par rechercher internet (13 documents), numérique (27 documents), environnement (71 documents), mémoire (5 documents), technologie (53 documents), innovation (18 documents), recherche (187 documents), etc. Dédoubler ces entrées et ensuite d'analyser leurs positions, rechercher les manques, réduire les oppositions. (attention : un "document" est en fait chez eux une thématique qui peut représenter des dizaines de textes).

2. La création d'un fonds d'aide à la jurisprudence. La jurisprudence coûte cher au justiciable alors qu'il agit en contributeur d'intérêt commun. Il serait donc normal que ses frais d'obtention de l'avancement du droit (dont il devient coauteur) lui soient remboursés. Ainsi toute QPC acceptée devrait faire l'objet d'un remboursement forfaitaire.

3. comprendre que ce dont nous sommes faits est de mémoire sédimentée depuis le big-bang jusqu'au micro-état de l'instant le plus récent. Et que le "il n'est de richesse que d'hommes" de Jean Bodin est que la richesse est mnème, c'est-à-dire l'ensemble des éléments mémoriels que s'est ménagé une personne, un groupe, une nation, une culture. Aristote a bien expliqué : celui qui est intelligent n'est pas celui qui se souvient, mais celui qui se remémore. La protection de la mémoire intime est un droit, la protection de la mémoire personnelle et commune est le socle de sa souveraineté, car il n'est de pensée que de traitement mémoriel.

4. que l'augmentation du mnème se fait directement par l'éducation (120 documents) et par la contribution (41 documents) qui sera intellectuelle (4 documents) ou immatérielle (1 document) et indirectement par la production.(42 documents) qui sera industrielle (100 documents). et/ou artisanale (5 documents).


La contribution intellectuelle et mémorielle

Nous sommes ici probablement à un des noeuds clés de l'évolution en cours. Je m'en rends compte à travers un des problèmes majeurs de notre société actuelle : l'adaptation au vieillissement. Les producteurs deviennent une minorité face aux éduqués/éducateurs et aux contributeurs/conservés. Nous avons trouvé des solutions en matière d'éducation (120 documents) permanente (2 documents) : il nous faut nous pencher sur la contribution permanente. C'est-à-dire toute la valeur ajoutée que nous apportons hors de l'ndustrialocommercial (par exemple le Libre) dont une large part est intellectuelle et, par là, à mieux protéger et à mieux évaluer, car il y a manifestement une perte économique générale due à la malmonétisation de l'intellectuel et de la mémoire.

On a mis du temps à comprendre l'importance industrielle de l'intelligence économique. Nous avons a comprendre l'importance contributive de l'intelligence mémorielle.


Le Catenet à la base de l'évolution

Ceci relève en grande part de l'architecture sans couche six présentation de l'internet et donc de la fermeture de Cyclades en 1978 puis de la fermeture de Tymnet/Extended Services en 1986, car nous en avons gardé :

  • un réseau décentralisé (démocratique ?) où de grandes fonctions sont aisément consolidables (GAFAMUSCC) en multipartieprenariat et en particulier le mémoriel par la fonction référentielle (IANA) - par une économie de la consommation et non de la raison (cf. le kiosque où l'on payait ou non l'information protégeait en partie du monopole radical mémoriel de Google and co.)
  • au lieu d'un réseau distribué (holocratique) où les grandes fonctions sont locales à chacun et holocratiquement maillable en omnipartenariats ouverts. C'est cela qu'il nous faut reconstruire en permettant à chacun de se constituer son mnème partiellement en réseau


TechnoFrance - appel à fondateurs

"La France ta richesse mentale fout le camp !" - Très bien le coup de barre public de Falque-Pierrotin. A nous d'aller au-delà du yenamare public et de publier une architecture pour le catenet (support de la recopie frange à frange glocale des datagrammes) qui nous protège chacun mieux que celle de l'IETF maintenant volontairement inféodée au NTIA. Il ne faut que la contribution de quelques développeurs, un peu bidouilleurs, connaissant aussi IPv6 et un un Barcamp autour de http://labriqueinter.net/ - http://xlib.re - http://technofacile;tf -

Je propose donc la création d'une association "Technologies Francaises" (désolé je préfère en français) à la préparation de laquelle je travaille sous le TLD ".tf" avec pour objectif la facilitation de l'usage des technologies digitales et numériques et une "Communauté Globale RFC 6852 francophone" en complément de la "Communauté Globale RFC 6852 anglophone". Un premier pas, je pense, d'importance, j'espère concret, vers un intersem (internet sémiotique) multilingue et omniculturel, sous architecture réellement distribuée et donc neutre.


Notes :

En référence à l'intrusion du droit US en France, la leçon nous vient de Mauretanie : "La consultation juridique nationale est un produit intellectuel national à encourager et qui de surcroît coûte moins que la prestation étrangère et donne de meilleurs résultats, car elle connaît le milieu et le droit national" -> http://cridem.org/C_Info.php?article=53352" le seul texte référencé sur Google avec http://pourlescopains.fr pour "produit intellectuel national"/"produit national intellectuel".


En parlant de FaceBook / Face Basic : http://blog.sosordi.net/2016/02/free-basics-linde-rejette-officiellement-le-deploiement-du-service-de-facebook-allez-va-t-en-et-ne-reviens-ja-mais.html

Et une alternative moins trash : http://blog.sosordi.net/2015/07/insolite-facegloria-lancement-du-facebook-pour-les-chretiens-au-bresil-la-e-porte-etroite.html


[20160118] : le digital de la République



Je tente actuellement de faire une synthèse stratégique économiquement et technologiquement cohérente ; à la fois globale, nationale et locale. Je détaille un peu pour info, car c'est une recomposition de l'approche Unix/NSA qui nous bloque depuis 1986 et qui est en train de s'ouvrir sous la pression des attentes dispersée mais convergente de beaucoup. Je m’appuie sur l’expérience de ces derniers mois discutée ici.


Ma base propositionnelle ouverte est l'XLIBRE.

Ce qui est recherché est l'esprit d'une communauté globale de l'initiative expérimentée, par l'utilisateur (lead user) : c'est l'identification concrête du processus holocratique et de sa desserte, selon le paradigme partiellement identifié par les GAFAMUSCC, etc. dans la RFC 6852, mais qui est utilisé par les US pour protéger leur dominance acquise). Mon but est d'établir le principe d'une communauté de l'expérimentation et de la documentation pratique manquante et de sa capacité de coopération avec les communautés de l'adressage, du nommage, de la normalisation dans une gouvernance qui s'ouvre des US vers les BRICS et l'Europe.
L'expérience m'a montré l'apport considérable de la souveraineté des Etats (monopoles) dans le montage initial (1977-1986) de l'infrastructure mondiale. Mais aussi la capacité permise aux leaders anglo-saxons d’imposer la dérégulation et la « globalization ». Il faut maintenant jouer AMHA sur la souveraineté des gens exprimée à travers le choix de leurs équipements et logiciels. L'étape intermédiaire (collectivités locales et entreprises) est un niveau de décentralisation difficile pour la distribution du réseau, car il bénéficie du régalien et du sol (fibre) et s'impose donc assez facilement sur l'individuel dont l'autonomie repose sur la radio et le câblage domestique.
La réalité est qu'il y a 33.000 communes en France et que l'approche Mairie se fait trop - en raison de l'absence de compétence et de budget locaux - par délégation (éloignement des personnes) au département ou à la région, et donc retour au monopole radical (Ivan Illitch) des solutions d'Etat. Ceci s’oppose au besoin de desserte utilisateur type qui est celle de mon cerveau, de mon bureau, de ma maison, de mon jardin, de mon village dans le monde de l'interconnaissance globale (synergie universelle assistée par ordinateur, télécom et intellition) actuel.
Et si je le fais pour moi avec mes voisins, je le fais avec moi pour chacun de mes voisins : le maillage local. A la municipalité des grandes villes qui ont les moyens et la compétence humaine d’être fibristiquement souveraines, il faut la collectivité de voisinage des résidents qui vont sourdre de cette compétence de façon bénévole ou coopérative. A travers des SCIC auxquelles pourront adhérer les petites collectivités locales. La France des « moins de mille ».
Notre force pour cela est le changement de la singularité techno-logique, (quant on a mis de la techne dans le logos humain) non pas du "post-humain", mais du "plus-humain".


De quoi s’agit-il ?

Tout simplement de deux sens humains supplémentaires (qui nous sont donc personnels, centrés sur chacun de nous), que l’on a pas vu venir, mais dont tout le monde a envie de se faciliter l'usage. Ce sont :
  • l'intellition, c’est à la perception par l'intelligence (et je préfère que cela soit mon intelligence que celle de Big Brothers & Co, le plus connu des systèmes d’intellition étant PRISM, celui de la NSA. Sans parler de Google.
  • l'empathie, dont nous savons être dotés par les cellules miroir que depuis 25 ans, que l'ami Messmer utilise pour nous distraire.
Il s’agit donc architectoniquement (c’est-à-dire au niveau de l’architecture des architectures) de la base de la personne intime : les données distribuées personnelles (dodies) qui s'articulent selon le mnème de chacun (ses traces mémorielles), que nous assistons déjà tous les jours par les auxiliaires cogiteurs informatiques que sont les « bots » en réseau pervasif, étendant ainsi les capacités d'expression de notre énonciation, ce qui réclame le système d'interopérations "netix" couche 8, etc
De cette couche 8 (en fait de la couche 13, mais on en parlera un autre jour) nous descendons à l’intégration de tout cela dans mon "vgn" (virtual glocal network, couche 7 et 6 OSI).


netPLUS

Donc saut à cloche-pied faute de couche 6 qu’il faut « PLUSser » : Presentation Layer on the User Side, ajouter à notre convenance une couche 6 intelligente, ce qui nous laisse beaucoup de latitude (merci la NSA qui n’en voulait pas).
Et nous retombons les pieds sur terre en intégrant ces échanges dans les couches basses du Catenet (tout ce qui fait bouger les bits en datagrammes) qui est actuellement sous diverses technologies locales, et en général IP pour le distant.
Cela ne fait que basculer la compréhension externe du conteneur datagramme des couches basses (1 à 5) en contenu formaté de l'intelligramme de la couche 6 (manquante sous internet). Ceci est totalement transparent à l’usage actuel, et la loi sur la république numérique peut aider à faire comprendre et à rendre obligatoire le formatage utile à tous (ASN.1, Json, XML, csv, etc.). Au niveau IETF ceci est donc du "frange à frange" (conformément à la RFC 1958 sur l'architecture de l'Internet).


Problèmes pour moi :

  • une compréhension utilisateur couche 1 à 5 solidement intégrée par tous : documentation « pour les copains »
  • via une couche 0 de :
  • compréhension techno/logique, ex. architecture/lois,
  • éducation des gens et des décideurs,
  • pour une intégration de la technologie à la vie humaine - on a surtout accepté l'intégration de la vie humaine aux machines. L'IoT va peut-être aider.
  • une architecture du Catenet en continuité transformant tout le monde en edge operator (égalité du net : tout le monde Master IPv6, j'apelle celal le M&M : le Master and Masters).
Il faudrait donc songer à :
  • un manuel explication réseau privé-local
  • un jeu de plans
  • catalogue produits + bons de commande
  • manuel d'installation
  • de la formation installateur
  • des séminaires de gestionnaire du Catenet edge to edge
  • un compendium tenu à jour de la réglementation et de la loi
pour que l'on puisse travailler à standardiser, développer, valider et déployer du fringe to fringe au dessus du plug to plug des ISP.


Pour cela ce sera suite au prochain numéro :

  • une standardisation française homogène et ouverte (normes, lois, règlementation, compétences terrain, information)
  • organisation de la mnématique (cf. André-Marie Ampère) permettant d’avancer sur du technologiquement utile et concret dans ce contexte.




Références




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(20160118) : le digital de la République
(20151231) : voeux aux vieux communs !
(20151222) - Nous nous construisons inégaux
(20120817) : 1.0 – 2.0 – 3.0 et intellitivité
(20120817) : WWW 3.0 ?

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