NTIX

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Les humanités numériques, le polylogue interdisciplinaire, l'intermédiatique économique, les académies des sciences "intra muros", les États, etc. font grand cas de NTIC (nouvelles technologies de l'information et de la communication) et notent que dans leur domaine et les domaines où elles sont utilisables l'on observe un décollage significatif en matière de recherche "hors murs".


La raison en est que si la recherche "intra muros" (c.-à-d.. "budgétée au sein des laboratoires") utilise la technologie et bénéficie de son déploiement industriel et stratégique (le plus grand investissement commun de l'homme à ce jour) tels qu'ils lui sont proposés ou imposés, la recherche "extra muros", qui en compte en son sein certains de ses pionniers, développeurs et normalisateurs, est souvent mieux au fait :

  • des limitations écosociopolitiques qui l'ont contraint (ce que l'on appelle la dette technologique),
  • de la nature des (rétro et in)novations nécessaires à sa résolution,
  • des retards de facilitation et de recherche intellectuelles qui en résultent et des contournements possibles.

Ceci implique de "nouvelles technologies de l'information (et de nouvelles méthodologies et façons de penser) étendues" (NTIX) aux relations, aux traitements du contexte, à la multimatique, à leurs effets, etc. Ce qui compte n'est pas tant ce que le "plus machina" peut faire, mais comment il permet, en l'état et selon quel moindre développement, au cerveau humain d'aller plus loin.


Les théories de la communication traitent du schéma entropique dialectique, dit du diagramme de Shannon (qu'il a toujours récusé), de la télématique de bout en bout des clients de plateformes. L'infodynamique que la recherche hors murs peut librement considérer et explorer dans ce domaine - qui est celui de ses propres outils - des aspects pandisciplinaires d'importance, tels que :

  • la néguentropie diktyologique ;
  • la polylectique du tous à tous ;
  • la globalité de l'interligence (le ce par quoi tout est lié) ;
  • l'approfondissement mnématique [1] de la réalité ;
  • un modèle multimatique la réintégration de la présentation sémiotique des contenus échangés (couche 6, OSI) ;
  • un questionnement informé sur la nature juridique et la liberté des données [2], actuellement des plus confuse et préjudiciable à la recherche ;
  • etc.


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  1. proposition d'Ampère, fondamentale à la notion de réalité et de sa sapience par chacun et chaque machine virtuelle, le mnème est l'accumulation présente des traces du passé d'un élément qui suscite l'ordre de ses avenirs possibles
  2. nul ne saurait être interdit de ce qu'il sait, ni d'en comprendre la raison.